Nuit du jonglage

Des balles lancées, des balles rattrapées avec les mains avec les pieds, des massues qui volent sous des corps en mouvement, c’est le langage de la jonglerie où la gravité fait partie de son alphabet. La jonglerie est un art, un langage à multiples facettes. En voici quelques éclats avec Audrey Decaillon où la performance et l’espace architectural sont indissociables, avec Bérénice Levy qui s’inscrit dans un courant de recherche qui allie l’art clownesque, le jonglage et la danse mis au service d’un discours sur la maladresse, sur la fragilité, sur la contradiction des sentiments. Jongleur absolu, Laurent Pareti rêve d’arrêter le temps pour fixer ses massues sur l’air, comme un peintre ses couleur sur une toile. Un étudiant du Centre National des Arts du Cirque, jongleur acrobate nous montrera que tout corps lancé retombe sur ses pieds ; le tout orchestré par Gérard Clarté, jongleur poétique et responsable artistique de la compagnie Les Frères Kazamaroffs.

En savoir + : frereskazamaroffs.fr