
Histoire de Fouilles
David Wahl
Sur scène, deux explorateurs-archéologues un peu étranges et un grand bac à sable. Peu à peu, ils vont en extraire nombre d’objets et autant d’histoires jusqu’à retracer l’implacable envahissement de notre monde par le plastique. Heureusement, ils possèdent une formidable machine à recycler, qui permet de fabriquer de nouveaux objets avec les anciens…
Histoires de fouilles invite petits et grands à réfléchir aux enjeux écologiques de notre époque, à faire l’expérience de l’impact de l’homme sur son environnement et à aborder l’économie circulaire par le biais de transformations de la matière. Vaste programme, me direz-vous, nourri comme toujours avec David Wahl d’informations scientifiques des plus pointues, aussi étonnantes que vraies. C’est très savant, très drôle et on en repart, à tout âge, fort de bonnes résolutions !
Distribution
David Wahl en alternance avec Maxime Dubreuil Texte et interprétation
Gaëlle Hausermann Collaboration artistique
Gaëlle Hausermann en alternance avec Laëtitia Le Mesle Interprétation
Anne Wagner en alternance avec Anthony Henrot Régie générale
Valentin Martineau Conception/réalisation, scénographie/accessoires
Jérôme Delporte Lumière
Production
Production : Incipit
Coproductions : Le Quartz – Scène nationale de Brest, la Faïencerie Théâtre Cinéma de Créil, Scène nationale de l’Essonne, Agora Desnos et le Théâtre Jean Arp, scène conventionnée Art et Création – Clamart dans le cadre de la reprise en septembre 2021.
Avec le soutien de (dans le cadre d’accueil en résidence dans les écoles) : La Faïencerie Théâtre Cinéma de Créil, le Quartz – Scène nationale de Brest, l’Onde Théâtre centre d’art – Vélizy Villacoublay, Scène nationale de l’Essonne, Agora Desnos
Ce spectacle bénéficie d’une aide à la création du ministère de la culture – DRAC de Bretagne et de la Ville de Brest
Remerciement au Techshop d’Ivry-sur-Seine, Ateliers Leroy-Merlin
David Wahl est artiste associé à Océanopolis, Brest – Centre de Culture Scientifique et Technique dédié à l’Océan
Crédits
Crédits photo : Erwan Floc’h