
Fahrenheit 451
Ray Bradbury
Mathieu Coblentz - Théâtre Amer
Spectacle accueilli en résidence de création aux Bords de Scènes
Écrit en 1953 par Ray Bradbury, Fahrenheit 451 raconte l’histoire de Montag, pompier dans un pays où les soldats du feu, chargés de brûler les livres, sont devenus les bourreaux de la pensée. Dans ce monde, les hommes semblent heureux — cernés par des murs-écrans et toujours en quête de plaisir — s’enivrent de vitesse, de drogues ou de violence. Lui se révolte avec d’autres résistants. Ils apprennent des œuvres par cœur, devenant des Hommes-livres, pour ne rien oublier.
L’adaptation libre de cette fable philosophique aux accents futuristes est portée à la scène par sept comédiens, musiciens, chanteurs qui, passant de la narration à l’interprétation, nous livrent le roman simplement, rageusement, joyeusement dans une restitution quasi radiophonique. Pour incarner l’histoire universelle, initiatique et édifiante d’un être révolté contre l’oppression, pour dire l’espoir et la résilience possible d’une humanité éclairée par les livres.
Distribution
D’après Fahrenheit 451 de Ray Bradbury
Jacques Chambon, Henri Robillot Traduction
Mathieu Coblentz Mise en scène, adaptation, scénographie
Avec Florent Chapellière, Olivia Dalric, Maud Gentien, Julien Large, Laure Pagès, Florian Westerhoff, Jo Zeugma
Vincent Lefèvre Collaboration artistique, Lumières
Clémence Bezat Collaboration à la scénographie
Simon Denis Régie sonore
Marie-Lou Mayeur Costumes
Christophe Coupeaux, Kristelle Paré Conception du décor
Production
Production déléguée : EMC – St-Michel-sur-Orge
Production : Théâtre Amer
Coproduction : TRR – scène de création d’intérêt national, Les Bords de Scènes – Grand-Orly Seine Bièvre, L’Archipel, scène d’action culturelle, EMC – St-Michel-sur-Orge
Subvention : Région Ile-de-France, Conseil départemental du Val de Marne, DRAC Bretagne
Avec le soutien de la DRAC Bretagne, du conseil départemental du Val-de-Marne, du Théâtre Gérard Philippe- CDN de Saint-Denis – Théâtre de l’Aquarium – François Sallé
Crédits
Crédits photo : Dominique Valles